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 Errol ♦ An another day of sun

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AuteurMessage
Errol Lovegood
culte de morgane
Errol Lovegood
crédits : @odistole (avatar) basara (gifs)
face claim : Colin (handsome) Firth
pseudo : Roxelane
Errol ♦ An another day of sun   Giphy
études : L'emblème du blaireau noir et d'or gravé à tout jamais en son cœur fut brodé sur sa robe de sorcier de 1871 à 1878
particularité : Doté du troisième œil, apanage d'une Trelawney
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Message (ϟϟ) Sujet: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMar 9 Juin - 14:06




Errol Lovegood
“ J’ai vécu comme une ombre et pourtant j’ai su chanter le soleil “


Keyword





Ft Colin Firth
@white rabbit (avatar) & @hollidaysee (icon)

pseudo/prénom : Roxelane âge : 26 ans et toutes mes dents personnage préféré dans la saga : Severus of course mais Luna a aussi une place très particulière dans mon petit coeur  sort préféré : Allez je change un peu, alohomora fréquence de connexion : 7j/7 comment tu as connu FTGG : sur PRD design première impression sur FTGG et/ou suggestion : Toujours aussi canon et tentateur.








Dossier n° 2415

nom et prénom(s) : Durant neuf longs mois, l’appellation du bambin à naître se grave dans le marbre et s’inscrit sur le journal intime des heureux parents. Harold, ainsi sera-t-il nommé, si Dame fortune offre un garçon à la maisonnée. Cependant, un perroquet jaco récemment recueilli, entreprend d’écorcher ce choix le jour même de la mise au monde de l’enfant. Errol, pépie bruyamment l’oiseau depuis sa cage. L’originalité du prénom dérivé amuse l’assemblée présente. Puis, soudain les rires se taisent et la réflexion s’intensifie. L’accouchée dotée de visions et d’intuitions se fie à l’animal ailé. Reconnaissance par la voix de l’un, ne serait-ce pas un signe du futur don de l’autre ? Sa destinée suspendue au bec crochu du psittacidae, Errol est ainsi baptisé, déjà bercé par l’excentricité d’une famille pour le moins cocasse, les légendaires Lovegood.
âge et date de naissance : L’âge de l’expérience et d’une vie bien menée, de la vieillesse abordée et tant redoutée à laquelle se mêlent les vestiges d’une jeunesse enhardie que l’on souhaiterait retrouver. Le corps svelte ne se courbe pas mais s’alourdit sous le fardeau du temps, la peau ne se froisse pas mais se ride au recoin sensible des yeux. La chevelure se parsème de blancheur traîtresse. Cinquante-quatre printemps que l’été a sublimés et que l’automne vient peu à peu flétrir. Ainsi est la sentence du sablier égrené. L’anniversaire revêt moins de gaieté, le gâteau devient plus fade. Quelle lointaine date que celle du 20 mars 1860 où ses premières vocalises résonnèrent entre les murs de la chambre natale. Doit-elle vraiment encore être célébrée ?
origines et degré de la branche familiale : Enraciné depuis bien longtemps en terre anglaise où ses ancêtres paternels ont bâti leur curieuse bâtisse, quelques rameaux hérités de sa mère Trelawney restent plus méconnus, gallois, écossais, irlandais ou plus lointains qui sait ? Elle s'est toujours tu sur le sujet. Le mystère subsiste encore et toujours. Généalogie aux branches aussi floues que « folles » dont il est désormais le tronc de la branche première, patriarche dévoué de la lignée principale.
état civil et orientation : Leandra, épouse adulée, mère de ses enfants, partenaire, amie, complice, doux patronyme à présent immortalisé sur une pierre tombale sous laquelle elle repose. Ecrin de tendres souvenirs, reliquaire d’un inconditionnel amour. Veuf. Glas d’une existence partagée, état du non-être et parfois du non-devenir. Si parfois ses yeux contemplent les courbes féminines d’une sylphide et si ses vêtements arborent toujours de chaudes couleurs, la solitude en son cœur règne obscure et perçante.  Sentiment dissimulé sous le vernis de l’espièglerie et de la fantaisie quotidiennes pourtant non feintes. Si le jour dissipe l’image du bien aimé fantôme, Errol n’est plus maître de ses nuits, abysses peuplés par le désarroi et la terreur de l’abandon.
profession : Lorsque l’heure viendra pour le rossignol d’entonner le chant du cygne, nul doute que ce dernier sera sublimé par la portée de sa voix unique. Timbre céleste aux nombreux octaves, berceau de son art, Errol parcourt les scènes du monde sorcier depuis de longues décennies pour y semer, tel un marchand de sable du bonheur, des sourires sur les visages de ses spectateurs.  S’il a renoncé pour un temps aux effusions d’un public en liesse afin de se plonger corps et âme dans une mission plus haute et si son récent emploi d'animateur-chanteur à la Radio Indépendante à Transmission Magique (RITM) ne le mécontente pas, il ne désespère pas de bientôt retrouver ces planches aussi vénérées qu’enchantées.
nature du sang : Méprisables flétrissures pour les uns, ineffables fioritures pour les autres, en particulier pour lui-même qui s’enorgueillit du sang moldu dont il est porteur, l'ichor écarlate est irrigué de vaisseaux entremêlés.
lieu de vie : La demeure familiale se dresse à Loutry Ste Chaspoule, au cœur du Devon et au pied d’un cours d’eau. Non loin du Terrier des Weasley et des terres des Scamander ou encore des Diggory, sa forme arrondie nichée en haut d’une colline surplombe la lande, telle une figure de tour de jeu d’échecs qui transcende toute l’excentricité de ses pairs.  
baguette : Vibration sensible et bruyante que celle de l'espiègle cornouiller. Les aventures palpitantes qu’Errol et elle ont partagé, tels de vieux camarades et baroudeurs, semblent gravées dans son écorce. La malice de son propriétaire fut ressentie jusqu’aux confins de son étui, tandis qu'elle se morfondait, victime de la poussière, sur une étagère du magasin d'Ollvander. S’étirant sur vingt-six centimètres et demi de longueur, en son bois fut placé l'épine d'un monstre du fleuve blanc qui lui octroie puissance et élégance.
épouvantard : Le brasier effrayant lèche les toits de ses hautes flammes, se propage sur les parois, les issues, l’encercle peu à peu, l’étouffe par ses fumées toxiques. Il tousse, titube, tombe au cœur de la fournaise où nul ne vient le secourir, où sa baguette succombe réduite en cendres et où la folie du désespoir et de l’impuissance le condamnent à périr avant que le feu ne l’atteigne.
miroir de risèd : Les deux hommes s’avancent l’un vers l’autre, baguette baissée, abdication de toute magie, renonciation à tout esclavage ou à tout désir de soumission, acceptation des différences. Ils se sourient sans que le sang pur ne devienne carnassier, sans que le moldu se révèle fanatique. L’échange d’une longue poignée de main, symbole de fraternité et d’humanité scelle cette alliance. Le sorcier égal du moldu, le moldu égal du sorcier.
particularité : Lorsque ses deux grands yeux se sont ouverts sur le monde, Errol ne pouvait encore soupçonnait la présence d’un troisième plus dissimulé. Apanage d’une mère voyante, il ne pouvait trahir ses gênes, son sang. Néanmoins, le don se manifesta de façon bien curieuse. En effet, à son contact les boules de cristal ne reflétèrent que le verre, n'émirent aucune brume. Les feuilles de thé ou le marc de café ne se métamorphosèrent en aucune forme effrayante. Seul l’imposant psyché de sa chambre lui renverra sa première vision durant l'enfance. Si ces chimères l’assaillent encore, il note malgré tout un certain délaissement de ses facultés de prédiction. Cette rareté trouverait-elle sa source dans le fait qu’il soit un homme et non une femme ? Car à la lumière des comparaisons, il en est de plus en plus convaincu.



Informations

groupe lumos, l’évidence d’un combat ou plutôt d’une cause, d’une juste cause. Admiratif d’un peuple qui parvient à substituer par de géniales inventions, son incapacité à créer de la magie, émerveillé de son intelligence peu commune et de son surpassement de soi, il ne pouvait adhérer à un groupuscule extrême visant à l’assujettir voire à l’éliminer. Par ailleurs, le parti de ne pas en prendre ne figurait pas dans ses options. En son âme et conscience, Errol se persuade que les temps reculés où les sorciers tombaient sous les coups d’intolérants moldus sont révolus. La cohabitation de deux mondes, pourvu que chacun ait recours au respect mutuel demeure possible. L’attaque contre la famille Zabini, tragique certes, ne l’a pas détourné de cette vision, de ses principes. On ne venge pas quelques morts par la destruction de centaines d’autres. On ne châtie pas moins l’abaissement d’un individu en s’abaissant soi-même à de telles extrémités…Les Enfants de Morgane, voie toute tracée donc. Les Enfants des Morgane, bannière qu’il sert avec fierté en qualité de passeur de nés-moldus et d’hybrides.  Seul son dernier souffle emportera loin de lui ce drapeau de tolérance.  
caractère ou réputation : Le verbe jovial aux commissures des lèvres, Errol illumine toute pièce où il pénètre. Solaire, optimiste, utopiste, philosophe, à son contact le quotidien morne et routinier s’estompe et l’air se vivifie. Passeur de temps tant on se plait à le partager en sa présence, il décoche des sourires sur les visages. Touche à tout et tout à fait curieux, il s’extasie des plus excitantes découvertes, des plus folles expériences. Excentrique et extravagant, il étonne jusqu’à sa famille par ses choix. Artiste aux grandes aptitudes, il subjugue par ses spectacles pour lesquels il met son âme à nue. Spontané et débonnaire, les plus malveillants se sont joués de lui mais il n’en garde que peu de rancune, plus enclin à la colère explosive et au sentiment de pitié envers son auteur. L’aigreur ne peut rimer avec vie dont son cœur déborde. Une existence parsemée d’insomnies et d'aventures, petites ou grandes au gré de ses nombreux voyages. Hyperactif, énergique, impatient, il devient insupportable lorsqu’il laisse les plus lents dans son sillage. Explorateur et collectionneur, il est un passionné et peut tenir des discours éloquents voire grandiloquents dès lors qu’il est intarissable sur un sujet. Agaçant ? Pénible ? Sans doute. Néanmoins, ses manières charmantes l’excusent toujours. Car désarmant est le maître mot pour caractériser Errol. Si on le prétend pauvre, lui se qualifie de philanthrope dépensier, état dont sa modestie ne désire pas faire étalage. Les gallions donnés s’en vont tout simplement remplir d’autres caisses plus vides que la sienne. Enfin depuis le décès de son épouse, ses familiers distinguent en lui une mélancolie exacerbée par la peur de la solitude. Il en devient irritable et quelques fois injuste en proie au déni. Une palette colorée d’adjectifs ainsi l’habite et pousse tout en chacun à l’aimer ou le haïr. On ne peut tendre à l’indifférence pour cet homme chez qui la demi-mesure est inexistante.  
signification des reliques de la mort pour iel : Beedle le Barde et ses écrits sacrés reposent dans sa précieuse bibliothèque. Couverture abîmée, livre écorché et jauni, tant les pages ont été tournées et retournée. Adoration des contes, culte des reliques. Il brûle de partir en quête de ses merveilles qui font de vous le maître de la mort. Soif de pouvoir lui est pourtant inconnue. L’adrénaline seule l’anime ainsi que les péripéties dispersées sur ce périlleux chemin. Le panache d’une vie métamorphosée en odyssée, existe-t-il plus grande gloire ?





Dernière édition par Errol Lovegood le Mar 9 Juin - 17:57, édité 15 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMar 9 Juin - 14:07

A tale of three brothers

who became the masters of death

Chronologie
20 mars 1860. Alors que les bourgeons de ce premier jour de printemps s’ouvraient peu à peu sous la perlée de la rosée matinale, Jason et Gaïa Lovegood accueillirent leur nouveau-né, héritier de leur nom.
20 mars 1868. Le don de voyance dont il se pensait dépourvu, se manifeste d’une curieuse façon à l’heure de son coucher. La vision se reflète dans l’imposant miroir de sa chambre. Désormais, les prédictions ne l’assailliront que de cette unique façon.  
septembre 1871. Poudlard l’accueille en son sein et le choixpeau le répartit sans hésitation aucune dans la maison d’Helga Poufsouffle dont il arborera fièrement les couleurs.
19 décembre 1872. A la veille des vacances de Noël, il se distingue par sa victoire à un difficile tournoi d’échecs, prouesse saluée par l’école.
23 mai 1873. Il reçoit sa première retenue. C'est au cours de celle-ci que son talent pour le chant est remarqué.
1er septembre  1873. A la rentrée des classes, la chorale de l’école l’intègre à son ensemble, il y animera toutes les fêtes importantes avec ses camarades.
17 novembre 1874. Il rejoint le club de duels de Poudlard où il s’adonnera avec passion.
18 février 1875. Il est victime d'un " accident "  tandis qu’il se présente aux sélections pour intégrer l’équipe de quidditch de sa Maison.
28 juin 1876. Le jeune homme obtient ses BUSE.
12 août 1877. Il se produit pour la première fois en dehors de Poudlard  à l’occasion des noces d’un ami.
29 avril 1878. Alors qu’il s’apprête à valider ses ASPIC, il reçoit l’offre d’un mécène et quitte ses études.
18 octobre 1879 . La ruine soudaine de son bienfaiteur ne lui permet plus de poursuivre son élan prometteur, on l’engage désormais pour des cachets plus rares.  
15 septembre 1880. Il est à nouveau remarqué et engagé comme chanteur lors de croisières sorcières de luxe à travers le monde.  Au cours de ces excursions, il apprend également la danse pour agrémenter ses spectacles, en compagnie d’une partenaire d’origine russe, Leandra diminutif d’Alexandra.
18 juillet 1884. A Loutry Ste Chaspoule, Errol épouse Leandra Soumarokov qui le comblera par la naissance de plusieurs enfants.
17 octobre 1887. Son père décède. Au cours des funérailles, il interprète une de ses compositions qui bouleverse le directeur de la Radio Indépendante à Transmission Magique.
12 janvier 1888. Il est reçu en interview à la RITM et l’animateur le pousse à donner de la voix à l’antenne. Aussitôt le monde sorcier s’enflamme et en redemande.
31 janvier 1888. Grâce à ce succès fulgurant, la gazette des sorciers le propulse à la Une et les photos magiques le représentant se propagent dans tout le pays.
12 juin 1888. Il donne son premier concert à Londres et sa popularité ne cesse de s’accroître.
14 août 1889. Il part en tournée à travers les scènes magiques du pays. Son triomphe ne se dément pas, les places s’arrachent jusqu’au marché noir.
2 mars 1892. Sa mère succombe. Il suspend alors sa carrière pour cause de deuil.
27 septembre 1894. Il donne un spectacle au profit de Sainte-Mangouste. A cette occasion, sa notoriété connaît un nouveau rebond.
4 mai 1897. Impatient de découvrir le cinéma, il se rend à Paris au Bazar de la Charité peuplé de Moldus lorsqu’un incendie se déclare. Il en conservera une phobie du feu.  
1er janvier 1900. Il offre un concert mémorable pour le changement de siècle.  Il reprend alors ses tournées ainsi que ses voyages.
juin 1912.Il rejoint les Enfants de Morgane, groupe de paroles et d’échanges où il apprécie de deviser sur l’unification des mondes sorcier et moldu.
20 juillet 1913. Son épouse Leandra décède de façon aussi mystérieuse que brutale.
novembre 1913. La prophétie de Cassandra Trewlaney le fascine dès lors qu’elle prononce les mots «  reliques de la mort. »
Janvier 1914. Il n’entend l’attaque moldu contre le village et les Zabini que trop tard pour intervenir.
février 1914. Il réagit à la prise de pouvoir de Grindelwald par un excès d’excentricité sous fond de message politique.
14 avril 1914. Il recueille une hybride chez lui durant quelques jours. Il verra son destin funeste. En effet, cette dernière périra dans les arènes quelques semaines plus tard.
mai 1914.  Il se porte volontaire auprès des Enfants de Morgane pour devenir passeur de nés-moldus, de cracmols et d’hybrides.
9 juin 1914. Le directeur de la Radio Indépendante à Transmission Magique lui propose de rejoindre ses équipes en qualité d’animateur-chanteur.
juillet 1914. A l’annonce des mesures esclavagistes de Grindelwald, il décide de composer en secret un hymne de tolérance, véritable chant de résistance.
août 1914. Accablé par la solitude, Errol envisage de plus en plus sérieusement à se remarier.



I. « Ne couvrez pas de voiles sinistres tout ce qui brille. Scrutez le miroir pour découvrir le fantôme qui s'y cache. » Anne Rice

Tu me regardes à nouveau mon vieil ami, ou peut-être est-ce moi … Tout ce que mes yeux recèlent d’indéchiffrable pour les autres, je te les livre, à toi ! Tu as depuis toujours mes pensées sombres, mes fous rires, mes meilleures extravagances, mes rares pleurs ainsi que mes quelques doutes. Beau lac translucide bordé de feuilles d’or où nait et meurt mon reflet. Notre première rencontre nous l’avons eue lorsque que j’arborais encore le masque de la jeunesse … T’en souviens-tu ? Je te fixais alors sans te voir, psyché sans âme, meuble sans relief, l’insouciance me guidait alors vers des amusements où tu n’avais guère ta place. En particulier ce soir-là. Mon gâteau dressé sur la table, j’y soufflais mes huit bougies et m’installais pour le dévorer sans une pensée pour toi. Pourquoi en aurais-je eu ? Puis, l’obscur drap de la nuit recouvrit la terre et la main maternelle me conduisit jusqu’à ma chambre, jusqu’à toi. Je te fis alors face pour entreprendre en toute innocence le débarbouillage de mon visage écrémé.

Soudain, je fus en proie à des illusions d’optiques quasi magnétiques. L’exaltation me gagna et me précipita dans un mutisme admiratif lorsque d’autres traits m’apparurent, plus féminins, plus âgés mais aussi hélas bien plus soucieux. Je m’approchais plus encore afin de l’observer. Inconnue parmi les ombres, la malheureuse fendait l’air glacial à travers la lande. Contre sa poitrine, elle serrait contre elle un précieux baluchon. Secondes fugitives et effrayantes rapidement chassées par mes rêves enfantins une fois blotti dans le cocon de mon lit. Néanmoins, lorsque les rayons du jour enveloppèrent à nouveau la maisonnée, la gazette des sorciers apporta une bien sinistre nouvelle. La silhouette aperçue au centre de ta surface vitreuse se tenait là, sur ces photos magiques à grande sensation, décédée, son enfant, son inestimable paquet heureusement sauvé.  Un instant hébété par ma vision, la caresse du soleil me réconforta et réchauffa mes veines. Alors, je ne voulus songer qu’à cela, qu’à cette vie humaine miraculeusement épargnée.

II. « La normalité est une route pavée : on y marche aisément mais les fleurs n’y poussent pas. » Vincent Van Gogh

Si tu deviens ce soir-là mon confident, je te délaissais bien vite pour mes livres scolaires où la poussière volette dans l’espoir d’étouffer l’énergie d’un enfant turbulent. Mon cuir chevelu effleuré par les rebords d’un choixpeau me conduisit alors à arborer l’emblème du juste et loyal blaireau. Comme une évidence. Je ne connaissais pas de couleurs plus vives que l’or sur ce blason, qu’importait l’arrière noir de cet écusson, je me sentis aussitôt flatté et enthousiasmé d’appartenir à cette Maison.  Je me glorifiais également d’y apporter ma griffe, surtout en cette veille de vacances de Noël où avec une fierté non dissimulée, j’octroyais à Poufsouffle cent points grâce à ma victoire à un tournoi d’échecs pour le moins difficile. Passionnant jeu de stratégie où le temps suspendu vibre jusque dans les méandres de ses cases. Que n’aurais-je donné pour devenir un maître reconnu dans cet art ? Le hasard, ce travestissement favori du destin, voulut cependant que j’embrasse une toute autre existence.  Cette étoile dans mon ciel jusqu’à alors sans nuages naquit aux détours d’une retenue.

En cause, des sorts virevoltant en forêt interdite et la dénonciation du camarade vaincu au cours de ce combat.  En bordure du lac de Poudlard, je me soumis donc à la cueillette de plantes selon les volontés du professeur de botanique.  Hélas les minutes s’égrenant dans le sablier de mon ennui, mes lèvres émirent bientôt un sifflotement puis laissèrent échapper une chansonnette afin de le tromper. Je ne les distinguais pas, pourtant mon instructeur prétendit avoir entraperçu des êtres de l’eau, suspendu à la surface de l’onde obscure comme subjugués. Possédais-je réellement un pouvoir sur des sirènes, ces créatures au timbre envoûtant ? Assurément pour le répétiteur de chorale qui m’intégra à cette dernière en qualité de pupitre masculin. Il me fallut alors me détacher du chœur sans en avoir le cœur, car élever une voix solitaire au sein d’un magnifique ensemble vocal n’est guère chose facile. L’envie d’autrui s’accroit, les sarcasmes piquent. En guise de défense, je me ralliais au club de duels de l’école où toute mon excentricité se libéra du lourd carcan des études.  Adolescent effronté d’alors quinze années et insatiable de découvertes, je me hâtais également de me présenter aux sélections de quidditch. La mémoire d’une journée revêt plus de puissance encore lorsqu’elle se grave jusque dans la chair. Était-ce une malheureuse coïncidence que ce cognard fou me prenne en chasse et m’occasionne une déchirante fracture au genou gauche ? Je l’ignore. Certains murmures de sabotage bruissèrent à mes oreilles mais je ne les écoutais pas. Mes réflexions se concentrèrent alors uniquement sur ma claudication passagère et sur mes innombrables malédictions afin que ce sport soit anéanti.

Si malgré mes anathèmes je n’y parvins pas, cet accident fortuit ne fit pas obstacle à ma réussite lors de mes BUSE. En effet, la tête haute, je remportai six épreuves sur neuf dont trois Effort Exceptionnel en astronomie, divination et défense contre les forces du Mal ainsi qu’un Optimal en étude des Moldus. Êtres ô combien fascinants ! L’horizon des vacances s’ouvrait alors à moi et l’âme joyeuse, je me noyais dans le fleuve des couleurs chaudes de l’été. Saison favorite entre toutes, nid des amours éphémères comme immortelles. Cette année-là, je célébrais d’ailleurs celles d’un grand ami de notre famille et de sa compagne et j’y interprétais une romance de circonstance. Au silence de l’ultime note succédèrent les incessants applaudissements de l’assemblée. Mon âme s’en nourrit si bien que mon sourire ne s’éteint qu’à l’aube du nouveau jour.  

III. « Celui qui un jour veut apprendre à voler, celui-là doit d'abord apprendre à se tenir debout et à marcher et à courir, à grimper et à danser - ce n'est pas du premier coup d'aile que l'on conquiert l'envol. » Nietzsche

Le tintamarre des courses d’élèves m’éveilla de ce rêve lorsque je déambulais à nouveau dans les dédales de Poudlard. Je poursuivais tel un pantomime l’ascension de cette montagne de savoirs avec la ferme intention de parvenir au sommet par l’obtention de mes ASPIC.  Je gravissais le dernier mont, les ultimes roches, lorsqu’une chouette déposa au creux de mes mains une bien surprenante lettre. L’un des hôtes de la noce que j’avais animée, mécène de son état, m’offrait une rare opportunité. Égayer les soirées mondaines de la société sorcière. Je m’en épanchais auprès de mes parents et étudiais plusieurs fois la proposition. Bien trop de fois d’ailleurs. C’est alors qu’avec fulgurance, le goût de l’aventure me saisit et sa lumière m’aveugla de toute sa clarté. Je quittais ainsi les bancs de Poudlard, sans remords, sans regrets, mais avec cette pointe de nostalgie du soudain néant et du vertige du présent.

Un an s’écoula au gré des somptueuses réceptions et j’y ai vu la soie des robes caresser le marbre, j’y ai entendu les messes-basses des convives s’écorcher les uns et les autres. La beauté et la laideur se confondaient en des mêmes lieux, en de mêmes personnes. Mes yeux dociles pourtant se refermaient au commandement de mes lèvres. Je chantais et oubliais ces vices détrônant les plus belles vertus. Hélas, je ne pus m’assimiler plus longtemps à l’autruche, puisque mon bienfaiteur m’annonça bientôt sa ruine et sa disgrâce.  Ainsi va le monde, aujourd’hui tout, demain rien. Et dans ce précipice, je m’abîmai dans son sillage. Penaud, je rentrais et te retrouvais, toi mon plus cher ami à la glace limpide. Une nature optimiste ne peut cependant côtoyer le vide bien longtemps. Je me consolais par diverses expériences toujours plus ubuesques, par les visions dont tu m’assaillais et que je tentais de déchiffrais mais aussi par des lectures toujours plus attrayantes et par des quêtes obstinées d’emplois.

Je découvris ainsi un nouvel abri à mon art dans l’accueil chaleureux des pubs londoniens et de ses casinos.  Cachets plus rares et plus incertains, mais au sein d’un public bien plus simple, bien plus riche, humain et humaniste. Ma voix y trouva donc davantage de plaisir à s’y exprimer. Douze mois, ombres du temps, pointèrent sur le cadran de ma destinée et à la chance se substitua une autre chance.  Un whisky pur feu entre mes doigts, accoudé à une table, un homme d’affaires me proposa un nouvel engagement au sein des croisières sorcières de luxe.  Grisé de voyages littéraires, je ne pouvais refuser d’explorer moi-même ces pays, ces continents aux milles merveilles. Je signais. J’empaquetais quelques effets. Je partais.

IV. « Tu auras été toute ma joie, toute ma pensée, toute mon âme, et ma vie restera à jamais parfumée d'avoir été mêlée à la tienne un instant … » Georges Courteline

Quatre printemps. Légendaire Cuba, tropicale Inde, traditionnel Japon, contrées au charme unique. Quatre étés.  Infini Canada, céruléennes Philippines, aride Australie, terres sauvages aux paysages poétiques. Quatre automnes. Brumeuse Transylvanie, antique Chine, mythique Grèce, régions aux trésors de beauté. Quatre hivers. Moderne Amérique, enchanteresse Afrique, glaciale Russie, berceau de Vénus, carquois de Cupidon où ma rayonnante Alexandra que je nommais plus volontiers Leandra naquit.

Toujours avide de nouveaux apprentissages, je te suivais, toi lumineuse étoile parmi des danseuses aux allures de petits rats, toi qui étais cygne. Tu m’appris la valse, tu m’appris l’amour, le véritable. Tu fus femme, tu fus flamme. Celle qui embrase le cœur d’un seul regard, d’un enivrant baiser. Je m’abandonnais à toi, tu t’abandonnais à moi. Nos deux âmes, nos deux noms et nos deux corps s’unirent bientôt par des liens sacrés dont la force s’apparentait à celle du roseau, parfois plié par les aléas des habitudes mais jamais rompu. Trois fruits écloront de l’arbre que nous avions planté et vivifié par la sève de nos vœux. Notre Insaisissable Orféo, notre passionnée Cordélia, ces chers jumeaux et bien sûr notre inattendue Aristée. Tous prunelles de mes yeux, de nos yeux.

V. « Les hommages rendus aux morts sont la parure des vivants. » Euripide

Si par nos enfants, un souffle de vie oxygénait tous les recoins de notre demeure, la mort sut malgré tout se loger dans un interstice et s’y glisser.  C’est ainsi que mon père Jason expira dans mes bras. La vieillesse lui avait donné les traits de nos ancêtres tous réunis dans l’au-delà. C’est elle qui l’emporta, sans cris, sans amertume, sans surprise. Moi, je restais sans larmes, le soulagement d’un corps apaisé, enveloppé dans le linceul de son dernier sommeil ne pouvait me faire frémir. Et au soleil, tout est gai, même un cimetière. Le noir aurait fait offense à nos aïeux, à son tempérament, je m’habillais donc de rouge vif. Le silence, quant à lui, aurait insulté sa créativité et son bavardage inné. Auprès de son cercueil aux couleurs psychédéliques, je m’agenouillais donc et chantais. Une composition joyeuse, vive, rythmée qui étonna voire peut-être choqua nos invités. Je n’en levais que davantage la voix.

Chant d’adieu, prélude à un chant d’avenir, telle la chrysalide se métamorphose en papillon, je reçus à tire-d’aile une missive du directeur de la radio la plus écoutée du Royaume-Uni. Etonné et en proie à un trac nouveau, je ne satisfaisais sa demande d’entrevue que quelques semaines plus tard. Cette anxiété s’évanouit au contact de cet homme agréable et charmant et lorsque j’entonnais les premières notes d’une mélodie célèbre. Reprise que bon nombre d’auditeurs saluèrent. Je fus alors saisi de l’effet boule de neige car on réclama à nouveau ma présence. Bercé par un ballet incessant d’entretiens, d’interprétations fidèles et revisitées où tous les âges goûtaient leur plaisir, je regagnais quinze jours plus tard, épuisé mais ravi la chaude douceur de mes pénates. Cependant, l’intérêt d’autrui se déchaîne aussi sûrement qu’une tornade et la lutte s’avère aussi vaine qu’inutile. La gazette des sorciers me propulsa à sa Une, mon nom, mon visage mis tous deux à nu. Les propositions emplirent bientôt mon bureau, s’empilèrent jusque sur mon lit.

Je me laissais ainsi emporter par cette vague de soudaine admiration voire d’adulation, moi l’illustre et ancien inconnu sans en oublier une certaine sagesse. Les escaliers de la renommée se gravissent un à un à l’image de ceux qui me conduisirent à ma première scène magique, l’estomac noué d’appréhension et d’exaltation. Et la communion d’un public et d’un artiste se mérite au jour le jour.  Il faut se donner soi-même en sacrifice au bonheur. Tel est le prix de la célébrité, ne jamais décevoir. Je m’efforçais de n’en rien faire au cours de chaque concert, de chaque tournée où parfois jusqu’au dernier moment j’ajoutais plus encore de fantaisie ou de grains de folie. Je n’ignorais pas que certaines places s’arrachaient au marché noir. Cette constatation aiguillonnait mon désir de toujours mieux faire et ma plus belle récompense se trouvait à la croisée de milliers d’yeux pétillants.  Les gallions gonflaient mes poches trouées au point de les brûler mais les sourires pénétraient davantage mon âme et s’en nourrissaient. Seul un autre deuil pouvait m’enlever cette ambroisie à laquelle je me désaltérais. La mort d’une mère, image sainte dont s’abreuvait le cœur de mon cœur, enterra une part de moi-même et je te blâmais toi haïssable miroir de ne pas me l’avoir montré afin de m’y accoutumer.  Au noir là aussi exigé, banal, triste, je répondais par le blanc, unique couleur seyant à sa pureté et, sur le fil du temps suspendu j’y accrochais ma carrière.
 
VI. « Renaître en permanence à chaque visage rencontré. Ne pas préférer la chimère au vécu. Danser un rêve éveillé. Renaître à mon Je(u) transformé et transfiguré. » Vincent Cespedes

 Le calme d’un foyer, refuge si précieux, estompe bien de cicatrices, guérit bien des maux. Durant deux années, j’y multipliais mes expérimentations, redécorais chacune des pièces au point de ne plus le quitter. Les devoirs de la paternité m’obligèrent pourtant à m’extirper de ce cocon, lorsque l’un de mes enfants dévora toutes mes prunes dirigeables que je semais aux alentours de la demeure et fut victime d’un sérieux urticaire à la gravité avérée. Le personnel de Sainte-Mangouste se montra alors aussi miraculeux que j’étais anxieux. A ces semaines d’inquiétude, s’ajoutèrent ainsi une gratitude et une admiration sans failles pour ces médicomages.

Mon chérubin guéri, je manifestais mon éternelle reconnaissance par un gala improvisé aux bénéfices de l’hôpital dans le hall même de celui-ci. Ma voix quasiment sortie d’outre-tombe après un si long arrêt envoûta à nouveau, davantage même qu’avant, par le manque occasionné. J’effleurais donc derechef les planches de mes souliers impeccablement vernis pour y retrouver un public conquis. A leurs cris, à leurs applaudissements, je réalisais comme foudroyé par ce tonnerre que j’avais dormi depuis longtemps.  Etranger aux larmes, mes yeux essuyèrent tout de même une goutte perlée le premier soir de ma renaissance.  Ivre de mon succès, il ne manquait plus rien au contentement de ma vie, si ce n’est encore et toujours la découverte. La découverte d’inventions moldues en l’occurrence. Un objet fantastique avait vu le jour entre les doigts de deux frères nommés Lumière. Nom si évocateur pour des techniciens que je leur octroyais plus volontiers le titre de magiciens.  Car après tout, ce cinématographe n’était-il pas un joyau d’ingéniosité ? Je me présentais donc au Bazar de la Charité en ce 4 mai 1897 afin de l’approcher au plus près. Le détail d’orfèvre apporté à cette machine m’émerveilla au-delà de mes espérances. Au cœur de l’après-midi, ma curiosité satisfaite n’apaisait en rien ma fébrilité et je désirais revenir sur mes pas en salle de projection. Néanmoins, un portier m’en interdit aussitôt l’accès. Je reculais et aperçus au loin un spectacle d’horreur. Des flammes léchaient des tentures à une vitesse effroyable et en guise de ciel, l’enfer tout entier s’ouvrit au-dessus de nos têtes. Mes oreilles empreintes de hurlements terrifiants, mes yeux horrifiés par la vision de chairs brûlées et de corps piétinés, ma gorge, mes cordes vocales asphyxiées, attaquées, je tentais avec l’énergie du désespoir de libérer certains prisonniers du brasier, en vain. Sauf pour un nouveau-né que je parvins à faire passer par une fenêtre, je ne sais s'il survécut. Alors, dissimulé dans un recoin, je me résignai à transplaner. Peu m’importait les conséquences de ce geste de survie. Dans la confusion de cette scène dramatique, où chacun luttait pour une bouffée d’air, nul ne me remarqua.  

Longtemps la maison sur la colline de Loutry Ste Chaspoule conserva mon traumatisme et entre ses murs la résonnance de mes innombrables toux. Je crus ma voix aussi atteinte qu’éteinte et je me refusais même à parler pendant d’interminables jours. Je ne dus qu’à mon tempérament jovial et aux miens, anges gardiens aussi patients qu’affectueux de surmonter cette épreuve. En demeure malgré tout un bannissement éternel à tout sort d’incendio sous peine de réveiller une latente et incontrôlable phobie.  En guise de cure, je reprenais mes excursions en famille ou en solitaire, visitais l’éternelle Egypte ou le pittoresque Brésil. Sourire, vivre encore et toujours. A la veille du nouveau siècle, je m’enthousiasmais donc sans surprise de l’avenir prometteur de notre pays et laissais libre cours à mon imagination pour un spectacle mêlé de poésie, d’originalité et de caprices toujours plus farfelus.  Le clou de cet enchantement demeure la métamorphose réalisée par la meilleure artiste de cette discipline envoûtante, Naiara Fabregas. Nymphe aux longs cheveux d’ébène dont je me flattais de sublimer la beauté et le savoir-faire par mon meilleur tour de chant. Le souvenir de ces différents tableaux fantasmagoriques éblouit encore bien des regards que je croise, léger chatoiement mais ô combien inestimable au cœur de cette nuit bien noire qui ne tarderait plus à nous envelopper de ses serres fanatiques.

VII. «  Regarde ton peuple d’ombres se lever dans la nuit constellée de tortures. » André Malraux

Ces ténèbres naquirent tout d’abord sur les lèvres d’une lointaine cousine, Cassandra Trelawney, sa vision en lien avec les reliques de la mort galvanisa la société britannique pour ne pas dire mondiale. Moi-même, je me passionnai pour cette annonce retentissante.  Pouvais-je alors me douter qu’il ne s’agissait que des prémices d’une tragédie latente tandis que j’en traversais une moi-même ? En effet, en proie à un intense chagrin causé par la mort du plus aimé des êtres, ma Leandra, je m’enivrais de whisky pur feu au cours de cette nuit sinistre où Loutry Ste Chaspoule et les Zabini se confrontèrent à la désolation et à la ruine.  L’âme saoule, j’oubliais la morsure qui avait déchiqueté le cou de nacre de ma muse et par là même tout un pendant de ma vie. Je buvais à en perdre la raison, à en perdre mes sens jusqu’à ce que les battements de mon cœur ne cognent plus aussi fort dans ma poitrine douloureuse. Ma colère s’assourdissait elle-même au contact du breuvage aux commissures de mes lèvres sèches. Mes questionnements se taisaient enfin aux confins de mon esprit. Anesthésié d’alcool pour ne plus guetter la phrase, le son, le parfum qui ne manquerait pas de brusquement raviver mon mal, je tombai à terre. Lorsque j’ouvris à nouveau les yeux, il était trop tard. Bien trop tard. Si j’avais su … M’entends-tu, surface vitreuse, vieil ami et cruel ennemi, pourquoi rends-tu de plus en plus tes visions si rares … Oui si j’avais su …

En raz de marée, la brume obscure s’épaissit à la levée de ce jour et revêtit la forme d’une confédération mais aussi une forme plus humaine en la personne de Gellert Grindewald. Puissant mage à l’âme aussi tyrannique que pestiférée de pensées immondes. Nom présent sur toutes les lèvres, ton bras cruel s’abattant sur les plus faibles a armé désormais le mien. Si dans un premier temps, je rejoignais les Enfants de Morgane par l’intermédiaire d’un de ses membres afin d’échanger sur la place des moldus et des sorciers au cœur de notre société, notre groupe développa bientôt plus d’envergure, avec l’arrivée de cette despotique engeance au Ministère.  Je réagissais sans plus attendre à ce coup d’état par un feu d’artifice noir en plein jour au-dessus de ma maison et me cachai derrière un excès d’excentricité, un zèle d’extravagance en guise d’explications.

Et lorsque ces arènes sanglantes broyèrent des innocents, lorsqu’une hybride blessée vint frapper à ma porte et que j’entraperçus son sort funeste dans ta surface vitreuse, ô miroir, mon cœur se refusa à se laisser flétrir par l’immobilisme. Mes tripes se soulevèrent de révolte à cette seule idée de docilité. J’opposais donc ma baguette à cette dictature naissante.  Au service de tous ces malheureux, de ces êtres sans défense, je les mis à l’abri de toute infamie sur leurs corps et leurs personnes. Je poursuis depuis ce noble dessein, comment pourrais-je me décourager ou me laisser entraver par des interrogatoires sommaires, tandis que des mesures esclavagistes soumettent des hommes au profit d’autres hommes ? Tout obstacle renforce la détermination, la mienne ne fera donc aucunement défaut à l’aube de ce mois de septembre 1914. Mon nouvel emploi, pourtant très prenant, à la radio indépendante à transmission magique ne me fera pas dévier de ce chemin. Quant à ma solitude, j’en suis écrasé certes mais si je reste désireux de l’aumône d’un charmant sourire et en quête d’une présence féminine, je n’en oublie pas mon honneur ni ma conscience.  Dans ce monde où tout s’achète ou tout se vend, même une femme, même un enfant, je ne cèderai jamais mon âme au diable.  



Dernière édition par Errol Lovegood le Mer 29 Juil - 21:22, édité 28 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMar 9 Juin - 15:46

:diva: lovegoooood en dc
j'aime beaucoup tout ce que je lis eeet on aura un lien avec Persephone ce coup-ci, be ready j'vais venir t'embêter :megusta:
rebienvenue chat :keur:
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Blanche Fletcher
ordre du phénix
Blanche Fletcher
crédits : little wilding
face claim : elle fanning
pseudo : blum
études : enfermée dans la maison familiale, Poudlard est un imaginaire nourrit par les paroles de sa soeur
particularité : comme si le destin se jouait d'elle, elle possède une mémoire eidétique, c'est à dire une mémoire parfaite. Peut-être est-ce pour compenser le fait qu'elle est une cracmol ou alors juste pour la noyer dans ses souvenirs ?
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMar 9 Juin - 17:06

les lovegood :brille:
et l'idée d'un théâtre sorcier est géniale !
(re)bienvenue :brille:
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Faust Potter
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Faust Potter
crédits : [ avatar @terpsykore icon @vocivus. sign @old money. gif @caesar ]
face claim : [ ben barnes. ]
pseudo : [ spf. ]
Errol ♦ An another day of sun   CNlI8uD
études : [ le lion dans un nid de vipères. ]
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMar 9 Juin - 19:24

LUMOS + LOVEGOOD :wesh: :fu: :etaine:
Je suis sous le mauvais compte, mais bon.

Je voulais poster dans ta recherche de liens, mais j'avais pas d'idées comme ça. J'ai bien hâte de pouvoir me poser et lire ta fiche, et je viendrais t'embêter ensuite. :hinhin: :fist:

Rebienvenue chez toi, et bon courage pour la suite en attendant.
I love you I love you I love you
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Prudence Prince
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crédits : moi.
face claim : margaret qualley.
pseudo : mgt.
Errol ♦ An another day of sun   9190d7188ad4d25ed7b3b6153d723202
études : poufsouffle (1904-1911) redoublement.
particularité : troisième oeil, son père l'obligeait à utiliser son don pour son propre avantage.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 10:20

jpp t'as vraiment appelé ton personnage errol comme la chouette des weasley :yamlove:
en tout cas j'adore son caractère et son métier je sens que je vais adorer le lire en jeu :angel:
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Andraste Lestrange
coalition sorcière
Andraste Lestrange
crédits : étangs noirs (av)
face claim : samara weaving
pseudo : GIRLS (laura)
Errol ♦ An another day of sun   E72dfa2423956d6858bcbac68232ab4226bd44e4
études : serpentard.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 11:29

COLIN :marie: :marie: bienvenue :herz:
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Stanislas Dolohov
coalition sorcière
Stanislas Dolohov
crédits : valruna.
face claim : tom hardy.
pseudo : perséides.
études : ancien serpentard. (1881-1888)
particularité : legilimens, stade trois.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 18:24

oh colin :hinhin:
rebienvenue parmi nous I love you
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Gabriel Potter
fresh muggle of bel air
Gabriel Potter
crédits : kraeken (avatar) clem (profil gif), astoria (signature gif), astra (signature), corvidae (icon)
face claim : xavier dolan
pseudo : figaro/amandine
Errol ♦ An another day of sun   5F0zNOsN_o
études : poudlard, serpentard (1900-1908)
particularité : les crocs sortant sous les éclats d'une lune pleine, malédiction cachée
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 19:40

Les choix sont fous :tombe: :amen:
Rebievenue :sad: I love you
en plus un momooooo :brille:
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Atlas Flamel
ordre du phénix
Atlas Flamel
crédits : Jenesaispas pour l'avatar ; henry (aesthetic familial en signa) ; prudence (image dans le profil)
face claim : henry cavill
pseudo : nutcracker
Errol ♦ An another day of sun   200718090900190332
études : A commencé ses classes à Beauxbâtons et terminé avec les ASPICS de Poudlard (Serdaigle, 1897-1899)
particularité : Animagus panthère noire (marque au-dessus de la patte arrière gauche)
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 23:02

Je trouve ça vraiment chouette, qu'il travaille dans la radio sorcière après un passé de théâtreux sorcier. C'est un peu comme le casino des Umbridge, ce sont les emplois pas mis en avant dans la saga qui ont tellement tellement de potentiel avec cet univers. Et le fait que ce soit un Lovegood chez les enfants de Morgane, mais avec la profondeur que tu avais su donner à Pandora, ça me donne vraiment envie de le voir évoluer en jeu, enfin bref j'ai hâte. I love you Rebienvenue :yamlove:
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Josepha Lee
sans camp
Josepha Lee
crédits : jae (avatar) - doom days (icons) - Magma (signature) - Elvis (gif)
face claim : Rosie Tupper
pseudo : Spf
Errol ♦ An another day of sun   EOnMtcm
études : Poufsouffle (1904-1911)
particularité : (Obscurial) La jeune femme l'ignore cependant.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyMer 10 Juin - 23:12

mon oncle est trop bg :woo:
et quel personnage extraordinaire ! rebienvenue :awesome:
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Errol Lovegood
culte de morgane
Errol Lovegood
crédits : @odistole (avatar) basara (gifs)
face claim : Colin (handsome) Firth
pseudo : Roxelane
Errol ♦ An another day of sun   Giphy
études : L'emblème du blaireau noir et d'or gravé à tout jamais en son cœur fut brodé sur sa robe de sorcier de 1871 à 1878
particularité : Doté du troisième œil, apanage d'une Trelawney
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyJeu 11 Juin - 20:11

@Kieran Goyle : Merciiiiiiiiiiii chat ! :keur:  I'm readyyyyyyyyyy ! Viens me mpotter quand tu veux ! Hâte d'avoir un lien avec ta chouette Perséphone ! :awesome:

@Blanche Fletcher : Merci beaucoup ! :minou:

@Faust Potter : J'ai hâte d'avoir un lien croustillant avec ton petit Shafiq ! Je l'adoooore ! Merci à toi ! :herz:

@Prudence Prince :  T'as vu ?  What a Face  Oui je voulais trop faire un clin d'oeil aux Weasley que j'adore (ce sont les voisins d'Errol) et en même temps, il y a aussi mon amour pour Errol Flyn.  :megusta: Merciiiiiiii ! :herz:

@Andraste Lestrange : Merkiiiiiiiiii ! :keur: Je vois que mon choix de Colin fait fondre tous les cœurs. :uuh:

@Orion Malfoy : Merciiiiiiiiiiii ! :nova:

@Gabriel Potter : Je suis ravie que tous mes choix te plaisent. What a Face Merci à toi ! :herz:

@Atlas Flamel : Nous avons la même vision des choses, j'aime prendre les métiers moins en vogue, je trouve aussi qu'ils peuvent être vachement intéressant pour cet univers. Je suis touchée par tes compliments concernant ma petite Dora. J'espère que l'histoire d'Errol te plaira tout autant. Merci à toi ! :awesome:

@Josepha Lee : :shiny:  Ton père ne lui arrivera pas aux chevilles niveau charisme, c'est sûr ! :mdr:  Merciiiiiiiiiiiiii ma nièce ! Il me tarde d'avoir un lien avec toi ! Ca promet tellement ! :brille:
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Andromaque Diggory
ordre du phénix
Andromaque Diggory
crédits : sekhmet (avatar) ; soldiers eyes. (image profil + signature) ; coral (code signature)
face claim : anya chalotra.
pseudo : ophélie / inkheart.
Errol ♦ An another day of sun   Fl7UuAVW_o
études : (SERDAIGLE / 1899-1907) ; élève de poudlard arborant les couleurs bleues et bronze.
particularité : (OCCLUMENS EN DEVENIR) ; apprentissage de l'art ancien, élève encore aux prémices de la maîtrise.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyVen 12 Juin - 17:46

ce personnage I love you I love you
trop hâte de jouer notre lien :alex:

rebienvenue :aah:
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Shibahn Gaunt
coalition sorcière
Shibahn Gaunt
crédits : (ava) schizophrenic (gif) unknown (code sign) astra (img sign) prudence
face claim : lily collins
pseudo : jess
Errol ♦ An another day of sun   Tumblr_inline_p7r3u8GvZW1sccn28_250
études : blason aux couleurs de l'ascendant fièrement arboré
particularité : Fourchelang, Hémophile
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyVen 12 Juin - 18:52

Anw ce début de fiche ! :brille: (et ce gif on dirait qu'il est parti pour fesser des membres de la conf :mdr: )

re-bienvenue avec ce perso :herz:
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Scylla Potter
sans camp
Scylla Potter
crédits : @doom days (av), @non uccidere. (profil)
face claim : Natalie Portman.
pseudo : January Blues, Cass
Errol ♦ An another day of sun   8ac6fac983ddd435aa5221b62a347808dd032a9e
études : Poudlard, promo 1885-1892, aigle.
particularité : Louve (avril 1914). Morsure récente, pulsions décadentes, difficile d'apprivoiser la bête qui gronde en elle.
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptySam 13 Juin - 9:29

Ohhh un Lumos, et pas n'importe lequel ! Il faudra qu'on discute lien avec Abel.
Rebienvenue ! :inlove:
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Genesis Shafiq
ordre du phénix
Genesis Shafiq
crédits : alcuna licenza. (a) mgt. (g). sarasvati. (s)
face claim : shanina shaik.
pseudo : calliope.
Errol ♦ An another day of sun   200726083725741139
études : les plus hardis et les plus forts, gryffondor » 1898-1905.
particularité : occlumens » 2, en apprentissage.
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptySam 13 Juin - 14:41

OMG ! colin firth en lovegood ! :luv:
j'adore, j'approuve ! :ohta:

re-bienvenue chez toi petit chat ! :minou:
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Léonide Lestrange
coalition sorcière
Léonide Lestrange
crédits : odistole (avatar) ; ice & fire (sign') ; vocivus (icon)
face claim : viggo mortensen
pseudo : tangerine dream
Errol ♦ An another day of sun   FsQJug0
études : (serdaigle)
particularité : (maudit) -- la mort galope à ses côtés. ils sont là, des âmes dont le trépas est récent. il monologue avec eux. un sixième sens, une hérésie qu'il cache. la folie le nargue jour après jour. gronde la menace d'une dissociation de la réalité
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyLun 15 Juin - 9:31

cette bouille pour un lovegood, c'si bien trouvé :ahn:
mais gâchis de l'envoyer chez Morgane :red:
rebienvenue :melt:
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Selina Parkinson
coalition sorcière
Selina Parkinson
crédits : muggle (avatar) - signature (non uccidere) - profil (prue love)
face claim : phoebe tonkin
pseudo : pisces / clémence
Errol ♦ An another day of sun   200726080540256032
études : (serpentarde, 1892 à 1899) années douces et regrettées
particularité : (legilimens) en formation
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyJeu 18 Juin - 13:38

aaaah tu vas être perf sous cette forme aussi I love you
bienvenue :woo:
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Errol Lovegood
culte de morgane
Errol Lovegood
crédits : @odistole (avatar) basara (gifs)
face claim : Colin (handsome) Firth
pseudo : Roxelane
Errol ♦ An another day of sun   Giphy
études : L'emblème du blaireau noir et d'or gravé à tout jamais en son cœur fut brodé sur sa robe de sorcier de 1871 à 1878
particularité : Doté du troisième œil, apanage d'une Trelawney
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyDim 28 Juin - 15:07

Vous êtes vraiment des amours, les chatons ! :yamlove:

Merci à touuuuuuus ! :brille: :herz:
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Enkhjin Greyback
coalition sorcière
Enkhjin Greyback
crédits : Baldaquin (Cassandra, best bae)
face claim : Tao Okamoto
pseudo : Circanem
Errol ♦ An another day of sun   5fc47423959e4ffffcefc56dcaa1084e
études : Serdaigle promo 1893-1899, enfant trouble, érudite frustrée
particularité : Louve, l'engeance maudite.
Errol ♦ An another day of sun   Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Errol ♦ An another day of sun    Errol ♦ An another day of sun   EmptyLun 29 Juin - 3:57

Aaaawwwwwwww rebienvenue avec ton nouveau bb :ohta: , Errol est super attachant et intéressant (La mélancolie dans l'histoire avec Leandra et l'aftermatch... BROKE MY HEART :cry:). J'ai hâte d'en savoir un peu plus sur lui, les Lovegood et les mystères qui l'entourent (vous avez dit morsure ?  :miguel: )

 
te voilà des nôtres

félicitations, tu es validé.e ! des dragées surprises s'abattent sur toi.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp, aux rps communs, et au rite de passage pour rire. il y a aussi la section du rappeltout pour les parrainages, les liens, l’évolution et les points, et à consulter les bottins pour te recenser officiellement dans ce sujet. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à la prochaine intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 Discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.
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